Le Chapus en noir et blanc

C'est là qu'habite ma tante Gisou, à l'entrée du pont qui va dans l'île d'Oléron, un petit village ostréicole.
Quand je viens la voir, je vais sur le port, ou vers les cabanes ostréicoles du Chapus, ou de la Pointe de daire. J'y ai pris mes habitudes, à force de m'y balader de la digue aux pontons, été comme hiver, quelque soit la marée.
J'y vais le jour ou la nuit, par envie de solitude, pour pendre le temps de rêver, de sentir et entrer dans ces ambiances nocturnes. C'est là qu'est mon intérêt, venir et revenir sur ces lieux, et chaque fois rechercher quelque chose de moins visible.